La cage s’ouvre lentement, buvant le soleil et son oxygène, éponge se gonflant de l’alcool gratuit.
Le souffle va et vient dans un coït intérieur, vital et sale en même temps, balance dont l’acmé est une tangente dont on goûte la limite salée.
Le corps se redresse, sort de la caverne, se gonfle de sève psychique.
Dans les fourrés de la respiration, se cache, se niche, pervers caniche, Ulysse le rusé et ses armadas de sirènes muettes.