les étrangetés du corps
les blessures mal refermées
purulentes de vers blancs et aveugles
le crocodile, les nénuphars, les palmiers
s’étant installés une aube d’enfance
sur la peau
les aigreurs et le bal des entrailles
honteux
les déraillements, les sorties du troupeau
sauvagement sanctionnés
par une mâchoire de Cerbère
la voix la vue les glandes
qui ne vont pas
cet amas de tracas
ne reflète pas
la grandeur de ton être de feu
la silhouette de lumière
que tu fais vivre de tes vœux
Quelle qualité. Cette lecture est thérapeutique. Ça fait du bien. Merciiii
Merci à toi Michel.