J’aime vraimentVoire adoreFaire la confioteDe fraisesEnfantJe passais des joursÀ les ramasserPuis une matinéeÀ les équeuterEnfin, coupéesArrosées de sucreElles mijotaientJe regardaisL’écume se formerDes heures durantDans les… Suite
Les eaux noires coulaient comme le sang épais du taureau sacrifié, lentement, par vagues constrictions. Leur flot appelait la fatalité, les mortels anneaux, l’annihilation. Au long… Suite
La poésie serait donc à l’avant-gardeDe la penséeVieille laisse d’idéaux dévoyésQu’on rouillera de sueurAux beaux joursEt à l’acmé des soirées arrosées Comme toutLa poésie évolue… Suite
à la foistrès proche de toidans l’hypersphère de l’intimeà la limite de l’indécenceet immensément éloignéà des années de trou de verde cet autre cercle de… Suite
Laisse les crever de leur obèse fatuitéLaisse les pourrir les orbites excavéesDe leurs tares dont ils tirent vanité Les envieux vivent dans leur rêveMalsain, famélique… Suite
Je ne peux empêcher l’émotion de coulerLorsque je suis exposé à de belles penséesUne vision positive d’un futur heureuxOù l’harmonie n’est pas un mot creuxJe… Suite
Alors je lisais un magazine, Elle, pour le nommer, French édition du 14 août 2020. Certains titres et châpos m’ont semblé obscurs, j’avais beau faire,… Suite
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