J’ai voulu rester fidèle au texte pur. Le graphe sur l’espace vierge, assemblé à d’autres contours, formant les moules de graphite capables de contenir l’or ou le plomb fondu de la pensée.
C’est oublier l’odeur du métal collant aux narines, oublier les langues safran et sang qui dansent sur la visière de l’immigré.
Je cède aux autres médias. La littérature m’a snobé. Alors que mon petit cul semblait un bon médium aux autres démons qui reluquaient, en bavant des gouttes d’acide. Que le gang bang commence et qu’ils m’inondent de leur semence créatrice !
Je suis votre nouvelle hétaïre.
à la croisée des chemins, trou de ver
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