Si tu as besoin de moi pour exister, moi, j’ai pas besoin de toi. Tu n’existes pas et je ne t’ai pas invité, retourne dans le néant dont tu t’es échappé.
Pleure pas si je t’ignore, dis-toi juste que tu es mort.
Et tu auras beau protester, pester, me frapper, me tuer, chier sur mon corps
je rigole, je suis le plus fort
JE T’ENCULE, puisqu’on fond de ton plaisir
perce une légère algie
tu croyais me soumettre, et c’est moi qui te mets
aux pieds de la triste réalité