repais-toi de mes entrailles bleues qui t’ont donné la vie, sur lesquelles tu as droit de mort
repens-toi de m’avoir humiliée, de m’avoir oubliée
quand tu mangeras le fœtus dont on devine déjà la fente
qui a le malheur de ne pas être de ton sexe rabougri
jusqu’à présent je me suis tue et tu m’as tuée j’ai été ta servante, ton jouet, ce que tu craignais et n’osais pas t’avouer…
maman est gentille, maman ne me fera pas de mal maman me fera l’amour et je serai le plus gentil des petits garçons
j’arrêterai d’être méchant et de lui mettre des coups de pied dans les tibias
chuis pas assez grand pour punir le four puant
oui mon petit chéri, jusqu’à maintenant je t’ai laissé jouer avec mon corps
mais c’est fini terminé tout ça oh la la ah ah ah
maintenant je vais torcher à coup de crochets
ton nez gluant et ton cul suintant goutte à goutte des larmes de sang
qu’est-ce qu’il a encore fait le vilain petit canard ?
viens petit imbécile viens maman va t’aider